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 Aaron L. Ridley

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Aaron L. Ridley
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Aaron L. Ridley


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MessageSujet: Aaron L. Ridley   Aaron L. Ridley Icon_minitimeJeu 6 Sep - 22:09



Aaron L. Ridley Fou10FOUAaron L. Ridley Fou10






Formulaire du patient : Aaron L. Ridley




citation ? : L’Amour comme Epée, l’Humour comme Bouclier / Ci Vis Pacem Para Bellum




Aaron L. Ridley Sans_t15



  • Nom : Ridley

  • Prénom : Aaron

  • Surnom : Pervertions

  • Age : 24 ans

  • Pathologies, maladies : Hallucinations visuelles et auditive, paranoïa, syndrome de Balint récurrents, délirium, enragements spontanés, Insomnies.

  • Sexe : Mâle

  • Langue parlées : Français de France discout, Anglais, Italien.

  • Orientation sexuelle : Hétéro sexuel

  • Hobbies, activité…obsession ?:
    Cassy / Kate, drums like a monkey, musique, technologies hors de prix, découpe de chair humaine, être payé pour, préliminaires, violence envers les plus faibles.

  • Arrivée au Sanatorium :
    Après avoir rencontré Cassy







~Description physique du patient :

Aaron mesure 1 mètre 87 pour 117 kilo. Son corps massif et ses longs cheveux blonds renvoi de lui une image sauvage, agressive qui n’est tempérée que par la douceur de son regard. Ses yeux noirs et sa barbe légère, son regard vague et sa bouche pulpeuse sont autant d’éléments qui attirent le regard. Ses mains sont couvertes de cicatrices tandis que son corps l’est d’ecchymoses. A cause du manque de sommeil, d’imposantes cernes entourent ses yeux. La lourde musculature de son corps tatoué cache une agilité insoupçonnée.

~Description mentale du patient :

Perclus de visions étranges, échappant aux bras de Morphée, le regard souvent figé dans le vague, l’esprit d’Aaron s’éveille souvent entre deux réalités. Enivré subitement de haine, il peu dévaster tout ce qui se glisse sous ses yeux. D’une violence sans pareil, ces accès de colère sont heureusement très rares et laisse le jeune homme dans un état quasi végétatif durant une longue période. Toujours en proie as de viles paroles susurrées par des voix sensuelles, une douce paranoïa s’écoule dans ses veines, distillant son poison jours et nuits ne lui laissant aucun répit.

~Histoire du patient :

Chapitre 1 : Les prémices du froid.

De toutes les façons qu’il fut possible de commencer sa vie, Aaron dû affronter la pire. Fruit d’une nuit d’ivresse entre un homme à la mine basse épris d’une jeune fille trop précoce, ce ne fut pas la chaleur des bras de sa mère qui fut sa première sensation. Allongée a même le sol, l’enfant toujours sanglant roula doucement sur le sol, pleurant a tout rompre sous le froid mordant.

Un mélange de cannelle, de sang, de sucre et d’eau de rose envahi soudain la ruelle crasseuse dans laquelle l’infortunée jeune s’était effondrée. Le froid entre ses cuisses ensanglantées la piquait atrocement tandis que le rythme de son cœur ralentissait petit à petit.

« Bonsoir » La douceur, la chaleur de la voix était à elle seule suffisante pour apaiser le froid. « Ne t’inquiète pas, nous veillerons sur lui… »

- « Aaron… » suppliais la jeune fille en tendant une main vers son enfant sans parvenir à se redresser.

« Si c’est ce que tu souhaites… »

Une silhouette gracile se dessina à travers la brume naissante. Le corps d’une femme s’en arracha d’un coup, se mouvant d’une démarche sensuelle, envoutante. Détaillant la scène, elle ne put s’empêchée de passer une langue envieuse sur ses lèvres charnues tout en portant un doigt a sa bouche. L’odeur du sang lui causait un émoi qu’elle n’aurait su contrôler…

Comme reprenant ses esprits, elle s’approcha de la jeune fille puis s’accroupie, prenant délicatement le bébé hurlant dans ses bras.

« Ne pleure plus ma Merveille, tout ira bien pour toi maintenant »

Considérant la mère agonisante quelques secondes, elle leva la jambe et enfonça l’aiguille de son talon droit dans son cœur, arrachant a cette dernière son dernier soupir…

Satisfaite, elle entreprit de dénouer son corser, dévoilant une partie de son opulente poitrine pour en porter la pointe à la bouche d’Aaron.
Aussitôt, les cris cessèrent, supplées par les bruits de sussions avide du bébé.

« Voilà mon chéri, doucement… tu n’en manquera jamais… »
Un drap vermeil et or n’acquit du néant pour envelopper chaudement l’enfant.

« Maintenant, tout reste à faire… »
Sur ces mots, la brume l’enveloppa puis se retira, emportant avec elle la douce odeur de cannelle…



Chapitre 2 : Douceur Vermeille.

Contrairement à ce que l’on aurait pu penser, la petite enfance d’Aaron fut commune à celle de beaucoup d’enfant malgré la singularité de ses jeux. Toujours lové dans les bras plein de tendresse de la succube qui l’avait arraché aux entrailles de sa mère, il s’épanouissait à une vitesse folle. Agé d’un an, il parlait déjà convenablement, s’exprimant avec grâce et retenu.

A l’âge de six ans, son intellect déjà las se tourna vers la perfidie. Ne se mêlant jamais aux autres enfants qu’il jugeait indigne d’intérêt, il préférait chasser les êtres vivant qui croisait sa route. Arborant une dague précieuse offerte par celle qu’il appelait « Mère », il tuait, ouvrait, comparait… Jusqu’au jour où une petite fille croisa sa route.

«Mère, est ce que c’est un ange ? » demanda Aaron

« Elle aurait pu, mais ça n’en sera pas une » Affirma la succube d’un air satisfait.

- Bonjour madame, dit-elle en s’approchant d’un pas déterminé vers la balançoire.

« Tiens, elle peut me voir… ça n’est pas commode a son âge, va lui parler » Intima le démon.

Un peu intimidé, Aaron s’approcha et commença à pousser doucement la petite fille sur la balançoire.

- « plus fort ! » criais-t-elle.

Une lueur de démence soudaine s’empara du petit garçon et il poussa de toutes ses forces. La jeune fille s’envola mais au lieu de s’écraser violemment au sol, elle atterrie souplement, portée à bout de bras par la succube.

« Fait attention à tes jouets chéri » ordonna-t-elle.

- « pardon maman » minauda l’enfant en faisant la moue.

Marchant vers la petite fille, il déposa un baisé plein de tendresse sur sa joue pour s’excuser. Surprise, elle passa ses bras minces autour de lui pour lui rendre son baisé…

Aaron se réveilla doucement. Allongé à demi-nue dans les bras d’une femme arborant de petites cornes sous sa chevelure de jais. Encore ce rêve, encore cette petite fille…

- « Vous avez encore faim ? » demanda la succube d’une voix ensommeillée ?
- « Non, rendors-toi » répondit Aaron. J’ai besoin d’une douche.
- « Vous voulez que je vienne ? »
- « Pas la peine, dors à présent » intima le jeune homme.
- « Merci Maitre… »

L’eau brulante ruissela sur son torse peu après, transportant sur sa peau les brumes des souvenirs de sa nuit. Commençant à se savonner, une délicate odeur de cannelle imprégna petit à petit la pièce.

- « Bonjour Mère », dit-il en souriant.
- « Mon parfum m’a encore trahis à ce que je vois. As-tu trouvé mon cadeau à ta convenance ? » demanda la succube.

A chaque fois qu’il reposait les yeux sur elle, l’étonnement s’emparait de lui. Le temps semblait glisser sur elle comme l’eau sur l’huile… depuis que les années s’étaient envolées et qu’il effleurait ses 24 ans, sa beauté restait préservée des affres de la vie.

- « Elle est très gentille, très douce » admis Aaron.
- « Mais ? »
- « quel mais ? » feignait le jeune homme.
- « Je t’ai élevé, je sais qu’il y a un mais » affirma le démon.
- « J’ai encore fait ce rêve… »
- « encore cette petite fille ? »
- « toujours la même »
- « je te l’ai expliqué une dizaine de fois fils, tes visions deviendrons plus clair avec le temps » rassura la succube.
- « Espérons, j’aimerais comprendre » répondit Aaron en sortant pour saisir une serviette.

Saluant sa mère, il s’étendit à nouveau. Presque par automatisme, les bras de son « cadeau » l’enveloppèrent.

- « vous avez faim maintenant ? » se risqua la jeune succube
- « oui », avoua Aaron en se recroquevillant dans sa poitrine imposante.

Délicatement, le démon plaça la pointe de son sein entre les lèvres du jeune homme alors qu’il s’activait déjà, laissant le liquide vermeil qu’il affectionnait depuis sa naissance couler quelque peu dans son cou.

Les yeux fermés, les doigts griffus du sommeil s’apprêtaient à l’arracher à la réalité lorsqu’un cliquetis retentis dans la serrure.

- « mais ça craint pas j’te dis ! » disais une voix
- « et si quelqu’un nous vois rentrer ? » soufflait une autre, apeurée.
- « ben pourquoi tu penses qu’on a des flingues, imbécile ? »

La porte de l’appartement qu’il occupait s’ouvrit sur deux hommes. L’un plutôt petit et replet, l’autre grand et filiforme.

Figé dans une expression de stupeur, ils dévisagèrent Aaron, redressé tant bien que mal dans les bras de son cadeau alors même qu’une goutte vermeil perlait au coin de sa bouche.

- « N’ayez pas peur », dit le jeune homme. Je ne vous en tiendrais pas rigueur, mais partez vite.
Les deux complices échangèrent un regard entendu avant de braquer leurs armes sur lui.

- « NON ! » s’écria le jeune homme en tendant la main.

Mais il était déjà trop tard.

Un parfum de cannelle revint subitement et dans un bruissement feutré, des dizaines de mains griffues s’acharnèrent sur les deux malheureux. Lacérés de toutes part, écorchés vifs, ils tombèrent au sol, répandant sur le parquet flottant une épaisse marre de sang.

Tout s’enchaina à une vitesse folle. Alerté par les hurlements, de douleurs, une voisine avait prévenus la police.
L’intimant de fuir, son « cadeau » s’était évaporé et c’est à quelques rues que je le jeune homme fut interpelé. Jugé sévèrement pour l’agression et le meurtre sanglant de deux hommes, il fut condamné à la prison à perpétuité.

Menotté, il était conduit vers son établissement carcéral lorsqu’il prit brutalement conscience de ce qui lui arrivait.

Le doux poison de la violence s’écoula dans ses veines, distillant ses charmes faciles, mettant sous tension la moindre fibre de ses muscles.
Brisant ses entraves, il se leva de son siège. N’écoutant pas les sommations de l’officier surveillant, il laissa le néant recouvrir ses yeux alors que son corps s’animait d’une force impie.

Lorsqu’il descendit du véhicule, l’odeur de chair et de sang qui l’entourait aurait fait vomir le plus téméraire des légistes…


Chapitre 3 : A la faveur de la nuit.

Les minutes devinrent des heures, les heures des jours puis ces derniers se transformèrent en mois. Errant d’un endroit à un autre, traqué comme une bête, la douceur de la vie d’Aaron s’était évanouie dans le vent.

Le parfum de cannelle ne s’était pas refait sentir depuis longtemps et à chaque «crise », les douleurs devenaient de moins en moins supportable. Un jour, alors qu’il fuyait un commerce qu’il venait de piller pour manger, la douleur l’assailli à nouveau. Mis à genoux dans sa course, il manqua de se briser le cou en chutant lourdement entre deux immeubles…

Affamé, le corps saturé de fatigue, il perdit connaissance. Les ordures se coulèrent à mesure qu’un rêve se déroulait sous ses cils. S’était un souvenir, datant de quelques semaines. Rare cicatrice heureuse sous sa peau pâle, la rencontre qu’il avait fait brulait encore en lui, distillant souvent dans ses veines une chaleur inconnue…

« Lève-toi… » « Lève-toi… »

Dans l’obscurité la plus totale, la douceur des murmures furent pour Aaron, semblables aux caresses d’une femme aimante…
Allongé, ses paupières s’ouvrirent doucement. La lumière ambiante, bien que faible lui brulait les yeux. Maudissant le maigre rayon de soleil qui parvenait péniblement à traverser le carreau, le jeune homme enfila sa veste. « Bois… » « Bois… »
Le verre sale posé la veille sur la table basse se remplis comme par magie d’un liquide vermeil onctueux…

Se saisissant de ce dernier, il l’englouti d’une traite et reposa le verre lorsqu’un violent spasme secoua son esprit. Tombant à genou, une vision s’écoula devant ses yeux. Les murs de l’appartement qu’il « squattais » cédèrent la place à une ruelle crasseuse. Cette dernière s’effaça pour montrer une salle paisible dans laquelle une jeune fille magnifique étudiait. Plongée dans ses livres, elle semblait ailleurs, perdue…
Ce qui semblait être une bibliothèque coula à nouveau. Deux hommes se dévoilèrent. L’un d’eux pointait du doigt la jeune fille qui sortait. Acquiesçant tous deux, ils lui emboitèrent le pas…

Les murs de l’appartement reprirent leurs placent. Se relevant, Aaron rabattit sa capuche sur lui, masquant son visage et partie à toute vitesse…


Tout était comme dans ses visions.
La ruelle, la nuit approchante, les murs sales… même l’odeur d’urine et de déjections remontait à ses narines, le faisait souffler de dégout.
Quelques mètres plus loin, il l’aperçue.
La taille fine, des traits délicats. La grâce, la beauté, la douceur personnifiée… Une vision angélique, trahis par une lueur de folie latente tapis au fond de ses pupilles… Une fleur odorante masquant ses épines avec le sucre de son parfum…
La détaillant, il s’arrêta net. Comment lui faire comprendre… A chaque fois s’était la même chose…

« Ils doivent… » « Mourir… tue les… » « Tue ces hommes… » « Tue les… » « Sert toi de ce que nous t’avons appris… » « Tue les…tue les, et laisse les nous… »

Les voix s’intensifièrent, avides…
Pendant ce temps, les deux hommes s’étaient approchés. A peine voulait-il esquisser un pas vers elle qu’elle était sans ménagement jetée au sol. Une menace fusa, une main pleine de mauvaises intentions suivit…

Ce fut comme à l’accoutumé.

Fermant les yeux, donnant une légère impulsion sur ses jambes, il sentit ses pieds quitter le sol. Le temps d’un souffle, il avait réduit la distance qui le séparait du groupe et referma sa main sur le poignet de l’homme.

« Ils doivent… » « Souffrir, tue les… » « Lentement… »

D’un coup, il brisa son poignet.
Les cris saturèrent son esprit, rendant sa vue trouble. C’est presque inconsciemment qu’il se plis, fouettant l’air souplement du pied. Une rotule se brise, l’homme cède. La seconde s’étiole, morcelée d’un autre coup. L’homme tombe. La douleur remonte dans sa gorge, prête a exploser.
La main d’Aaron la cueille, fleur vivace aux couleurs pourpres… l’atémis traverse presque sa gorge, la fleur tombe, flétrie d’amertume…

Le temps d’un second souffle… si facile… si naturel…

Aussitôt les voix se déchainent, l’heure approche, la faim les taraudes.
Se relevant doucement, le jeune homme se penche alors vers elle, ses cheveux blonds se détachent, ses yeux se mêlent a ceux de la jeune fille.

- « Dit moi, de quelle couleurs sont mes yeux » murmure-t-il d’une douceur qui le surprend.

- « noir » répond-elle apeurée.
Délicatement, il s’empare de sa main, l’aide à se relever et l’entraine de l’autre côté de la ruelle…


La voie de Cassy est chaude. A mesure que les mots s’écoulent entre ses lèvres charnues, le corps d’Aaron s’apaise. Cela faisait trois jours qu’il n’avait pas épanché sa soif et le liquide vermeil, d’habitude si précieux à ses yeux s’était vue relégué dans un coin sombre de son esprit. Les voix s’étant tut, les visions s’en étant allées, Aaron goutait a une vie insouciante, loin des traquas de la possession et des voies du dessous…

- « J’ai repris la gestion de l’institut de mon oncle » affirmait-elle un jour alors qu’ils buvaient un café à côté d’un parc.
Tu sais, je pourrais t’accueillir dans mon Sanatorium, tu ne serais plus obligé de vivre comme ça, ajoutait-elle après un moment d’hésitation.
- « Et je pourrais continuer de te voir ? » demandais Aaron
- « Évidement ! » assurais la jeune fille dans un de ses merveilleux sourires dont elle avait le secret.



Une forte odeur d’urine et d’humidité tira Aaron de sa transe. Les sirènes de polices s’éloignant, il puisa dans le sourire de Cassy la force de se lever. A la sortie de la ville, au détour d’une rue déserte on pouvait lire « Sanatorium Institut » sur un panneau ne tenant en place que par la grâce de Dieu…

L’esprit d’Aaron s’envole alors une dernière fois vers le sourire de Cassy, promesse d’un salut qu’il n’aurait sût jugé bien meilleur… ou bien pire…







Vous, le fou derrière votre écran :



  • Votre âge IRL : 24 bientôt !

  • Votre surnom : Perv !

  • Le nom du personnage de votre avatar : Darker tham black

  • Comment avez-vous connu le forum ? : Susurré une nuit a mon oreille par une jolie bouche.

  • Première impression : « Coum say jouliiiiiiiie »

  • Des suggestions ou des remarques pour l’améliorer ? : écrire plus gros pour mes vieux yeux, mettre une catégorie porn et un distrib a m&m’s

  • Avez-vous lu le règlement ? : ~ Code validé par Twisted Evil ~ !!!





Aaron L. Ridley Drippi10



Dernière édition par Aaron L. Ridley le Mer 19 Sep - 22:16, édité 4 fois
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Aaron L. Ridley
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MessageSujet: Re: Aaron L. Ridley   Aaron L. Ridley Icon_minitimeMer 19 Sep - 21:48

Super, tout mes ctrl + i ont fail...
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Cassy Elliot
Fondatrice
Cassy Elliot


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Age : 29
Localisation : proche...très proche de vous...

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MessageSujet: Re: Aaron L. Ridley   Aaron L. Ridley Icon_minitimeJeu 20 Sep - 17:15

Ne t'en fais pas mon bébé j'ai arrangé ton code :3


Bien évidement fiche parfaite, je n'ai rien à dire à part bravo. ça me change des posts d'autistes qui n'arrivent même pas a écrire deux mots sans faire de faute. Je te remercie donc vivement pour avoir fais jouir mes yeux... plusieurs fois... comme à ton habitude... et pas que. Bref je m'égare ! Tu as ma validation !
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Kate .H. Turner

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Localisation : Plus près que tu ne le crois...

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MessageSujet: Re: Aaron L. Ridley   Aaron L. Ridley Icon_minitimeJeu 20 Sep - 17:22

Your post gave me an orgasm baby !! Yeahhh thank you ! God exists !

Enfin une personne normale qui arrive à aligner deux mots de façon fantasmagorique. Rien à dire à par encore ! ( comme d'hab Wink ) hum breeeef Validation !
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MessageSujet: Re: Aaron L. Ridley   Aaron L. Ridley Icon_minitime

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